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Technical Reports
Title
Testing the durability of wood
Journal
Materials and Structures
Volume 31, Issue 9 , pp 641-647
Cover Date
1998-11
DOI
10.1007/BF02480616
Print ISSN
1359-5997
Online ISSN
1871-6873
Publisher
Kluwer Academic Publishers
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Authors
Author Affiliations
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http://link.springer.com/article/10.1007%2FBF02480616
Technical Reports
, Volume 31, Issue 9, pp 641-647
First online
- Marie-Louise Edlund
- , Thomas Nilsson
Abstract
The use of wood is limited due to its susceptibility to wood destroying organisms. If wet for long periods, wood will be attacked by fungi and the strength properties will decrease dramatically. To overcome this disadvantage, non-durable wood can be treated with preserving chemicals. When testing durability, it is essential that wood be exposed to all kinds of wood degrading organisms that can be expected in the intended exposure environment.
The aim of this study was to evaluate the relevance of exposing test ttakes in terrestrial microcosms (TMC) as an alternative to existing test procedures to judge the durability of treated and untreated wood.
Small stakes of treated and untreated pine (Pinus sylvestris) sapwood were exposed in TMCs with different soils. Stakes were also exposed to pure cultures of brown and white rot fungi.
After exposure, mass losses were determined and stakes from the TMCs were analysed using light microscopy to determine the types of microbial attack.
The effect of the preservatives varied depending on the exposure environment.
It is concluded that testing the durability of untreated and treated wood with pure cultures of fungi is too limited a test to evaluate total effectiveness. Testing in TMCs represents a good complement to existing procedures and, after further development, an alternative to other laboratory and field tests.
Résumé
La vulnérabilité du bois aux micro-organismes est un facteur qui limite son usage. Lorsqu'il est mouillé pendant une période prolongée, le bois sera attaqué par des champignons, ce qui diminuera dramatiquement sa résistance. Pour pallier à ce désavantage, on peut traiter les bois les moins résistants avec des produits de préservation. Afin d'évaluer sa durabilité après traitement, il est alors essentiel d'exposer le bois à tous les types d'organismes destructeurs pouvant se trouver dans le milieu où il sera utilisé.
Le but de cette étude est d'évaluer l'exposition des piquets de bois dans des microcosmes terrestres, en tant qu'essai alternatif aux procédures existantes pour évaluer la résistance des bois traités et non traités.
Des petits piquets de pin sylvestre, Pinus sylvestris, traités et non traités, ont été exposés à des microcosmes terrestres, utilisant des sols différents. Les piquets ont également été exposés à des cultures pures de champignons de carie blanche et de carie brune.
Après l'essai, les pertes de masse ont été déterminées et les piquets ont été analysés au microscope photonique afin d'identifier le type d'attaque microbienne subie.
L'effet des produits de préservation a varié selon le milieu auquel les bois traités ont été exposés.
On a conclu que des essais de durabilité effectués sur des bois traités et non traités, uniquement en présence de cultures pures de champignons, sont trop limités pour prédire l'efficacité totale d'un produit de préservation. Les essais effectués dans des microcosmes terrestres peuvent être un bon complément aux procédures existantes. Ils peuvent même devenir, après des recherches supplémentaires, une alternative à d'autres essais sur le terrain et en laboratoire.
Volume 31, Issue 9 , pp 641-647
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